lundi 26 avril 2010

pourriture


Dommage...

J'avais cru en trouvant des réponses que tout serait plus clair...
Mais non.
Maintenant, Cela m'indiffère.
Savoir ou ne pas savoir... à quoi bon?

La conscience rend libre, mais pas heureux. Seule consolation : je sais ce que je ne veux pas. Mais je n'ai plus envie. J'existe, j'ai l'impression de me hanter moi même, et d'habiter mon corps en attendant le soir, le lendemain... mais... mais pas le matin...
On m'a dit : "Dit alhamduliLLAH", oui, c'est vrai... Louanges à DIEU en toutes circonstances.
Je ne suis plus celle qui croyait que, malgré tout et tous, quelque chose de beau allait arriver...
Il n'y a rien... Toujours ce rien qui rempli ma vie...
Il n'y a rien eu d'autre, et il n'y aura rien d'autre...
Être là pour les autres, mais des autres, ne rien en attendre...
Je ferai grandir mes petits... en fait... ils grandiront avec ou sans moi.. Il vaudrait mieux que je sois là, à jouer les heureuses... Quoique, je dois l'avouer heureusement qu'ils sont là, mes 4 petits... Ils sont l'autre côté de mon miroir, et m'y invitent chaque fois qu'ils rient.. J'espère ne jamais les happer vers mon Obscur, ni même qu'ils ne sentent ou devine ma puante décrépitude. Mes petits, si petits, si gentils...
Qu'ils ne soient jamais à mon image... En décomposition...

Aucun commentaire: